17 novembre 2009

Si seulement ça pouvait suffire...

Toujours la même culpabilité.
Non tu n'y es pour rien et je ne t'en veux pas.
Mais je ne sais pas quoi faire ou comment faire.
Tu sais que tu m'obsédes vraiment? je n'arrête pas de penser à toi. A quoi tu penses? qu'est ce que tu fais? qu'est ce que tu veux? et je n'ai pas toujours la réponse et je m'en veux. J'ai vécu les pires moments lorsque j'ai appris que tu n'allais pas bien. Tu sais, je suis pire que maman finalement sur ce point, j'imagine toujours le pire et je crois que ça va se réaliser, et j'angoisse, j'angoisse à mort et je m'en veux encore et encore, surtout quand c'est toi.
Comment te dire encore je t'aime et que je pense à toi alors que je ne suis pas là quand tu as besoin de moi? tu m'en veux. Et tu as raison. Rien que pour cela j'ai envie de devenir un monstre insensible détachée, rien que pour ne plus te lier à moi, pour que tu ne crois pas que je puisse t'aider, pour que je ne dépende plus de toi, ni toi de moi. Mais je ne peux pas. Je ne pourrai pas. J'en mourrai. D'un coup en tout cas. Pas comme maintenant, à petits feux...
Pardonne moi.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

je t'aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime